En effet, cette question de savoir de quoi je peux me passer ? Je me la pose encore !
Il y a un tas d'aliments dont on peut se passer !
Mais seul notre corps peut nous dire lesquels.
Je dis ça à ceux qui ne désirent pas suivre un mode d'emploi encyclopédique pour gérer leur vie...
Sinon, il existe un tas d'ouvrages qui vous diront ce qu'il faut faire ou ne pas faire !
Mais le seul arbitre équitable, c'est votre corps, votre organisme et au fil des mois, des ans, vous verrez qu'il vous donnera des signes.
Petits maux où perturbations après quelques "excès" devront résonner (raisonner) comme une sonnette d'alarme pour votre rythme diététique.
Certains aliments conviendront parfaitement à certains d'entre nous et dérangeront systématiquement d'autres personnes...
Nota :
Ici, je tiens à donner mon avis personnel sur la diététique...
J'ai, lors des années de tentative d'amaigrissement rencontré différents diététiciens, pas de nutritionniste, mais excusez-moi, je crains devoir les mettre dans la même catégorie...
J'ai beaucoup de mal à croire qu'ils "savent" !
Je leur concède de bien savoir ce qui leur a été inculqué, d'être de brillants disciples d'une méthode, parfois scientifique...
Mais je crains que l'organisme et l'alchimie de l'être humain ne répondent pas de manière identique d'un individu à l'autre, d'un moment à l'autre...
Je m'explique, je suis persuadée qu'à certains âges de nos vies, les réactions émotionnelles et hormonales influent grandement sur notre assimilation de la nourriture.
Je sais aussi, qu'il existe différentes écoles et différentes "vérités" sur l'alimentation.
La diététique traditionnelle française, la diététique traditionnelle chinoise (très différente), certainement d'autres diététiques traditionnelles, et puis les alimentations végétariennes, végétaliennes, et même les alimentations carnivores (Hatkins, Dunkan et d'autres que je ne connais pas), les fructivores et bien d'autres...
Laquelle est la meilleure ?
Y en a-t-il une qui est la vraie ?
Je ne crois pas, mais ce qui est sûr c'est que tous sont persuadés être dans le vrai.
Certains de SAVOIR
Je sais aussi que les constats sur les interdits alimentaires sont régulièrement revus années après années :
quand j'étais jeune, le pain était un aliment assassin, maintenant, il faut en manger en quantité raisonnable, ne surtout pas le supprimer...
pour ma part, quand j'étais adolescente et que j'avais mes fringales, si j'avais avalé deux tranches de pain de campagne, j'aurais certainement :
moins eu faim,
pas volé de saucissons dans les placards,
moins culpabilisé,
moins été frustrée,
moins grossi !
Mais je n'affirme qu'une seule chose, je suis un quidam, je n'ai pas fait d'études en ce sens, et je ne parle qu'en fonction d'un vécu personnel...