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1 mars 2011 2 01 /03 /mars /2011 08:38

En réduisant oou supprimant certains aliments de mon alimentation quotidienne,

 

j'ai perdu 50 kilos la première année,


je n'en ai perdu que 25 la suivante, et


les dix derniers mois, j'ai perdu 30 kilos...

 

Ce qui est paradoxal, je craignais de piétiner longuement et ne pas bien arriver à perdre les derniers kilos, et bien non !

J'ai eu un palier long et difficile à 103/105 kilos.

Etait-ce un blocage personnel ? mais je ne parvenais pas à descendre plus bas pendant 3 mois...

 

Six mois plus tard, même problème dans les 90 kilos. Plus moyen de perdre le moindre gramme...

 

Encore une fois ça a duré presque un trimestre et quand la décroissance a repris, je suis rapidement descendue jusqu'à mon poids idéal, 4 mois plus tard, je pesais 65 kilos !

 

Par contre, j'avais fait le calcul en fonction de ma moyenne quotidienne, j'ai peut être perdu 105 kilos, mais en moyenne, ça ne représente que :

 

97 grammes par jour !

 

Même pas 100g par jour !

Aussi quand je reprends un kilo, je compte qu'il me faudra, au même rythme, au moins dix jours pour le reperdre,

si j'attends d'en avoir repris troi, ça représentera 1 mois au moins pour tout reperdre...

 

C'est à bien réfléchir !

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1 mars 2011 2 01 /03 /mars /2011 08:27

Tous les jours, c'est la même chose.

 

Il faut se rappeler que tout ce qu'on consomme ne sera pas forcément consumé...

 

Que s'il n'est pas facile du tout de perdre du poids, le contraire (en prendre) est d'une rapidité foudroyante !

 

En un week-end de grosse bringue, on peut facilement prendre 1 à 2 kilos, mais combien de jours ou de semaines faudra-t-il pour les reperdre ?

 

Quand on se lâche, si c'est occasionnel, deux jours après les kilos pris sont repartis aussi vite, mais par contre si ça se répète trop fréquemment, ils restent et s'installent....

 

Dans la vie, il faut faire des choix. Et tant que de manger et boire tout et n'importe quoi restera le principal signe de plaisir, il sera très difficile d'atteindre et de conserver son poids idéal...

 

C'est vraiment pour ça que je suis persuadée qu'il y a tout un travail mental et presque philosophique à faire avant d'entreprendre tout régimen diète ou rationnement.

C'est pour ça que celui qui se sent prêt, fait une révision de son rapport à la bouffe et vit ses changements d'attitude de façon sereine et satisfaisante.

 

De plus quand après plusieurs sorties entre amis, on se rend compte qu'on s'est bien amusé, voir "éclaté", mais en ayant tout à fait su gérer son comportement alimentaire et sans aucune incidence sur notre ligne, alors là, on commence à être fier, heureux et satisfait des choix que l'on a fait !

 

Nous ne sommes pas des chèvres de Monsieur Seguin et lors d'une fête, ce n'est pas parce que tout le monde a un comportement dangeureux, qu'on doit sauter comme les autres...

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1 mars 2011 2 01 /03 /mars /2011 08:22

En fait, rien n'est interdit.

 

Il suffit d'être conscient de ce que l'on consomme et de l'incidence que cela aura sur nous.

 

D'ailleurs dans beaucoup de domaines c'est la même chose, je vous dirais qu'il n'est pas non plus, interdit de se jeter d'une falaise...

Mais peu de personnes s'y risquent parce qu'elles savent que...

 

C'est suicidaire ?

 

Et grossir sans arrêt, est-ce aussi anodin et futile qu'on veut le laisser croire ?

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1 mars 2011 2 01 /03 /mars /2011 01:39

J'adore la bouffe !

 

Vous devez commencer à le savoir...

 

Mais, j'adore aussi cuisiner !

 

bouff.jpg

 

Quand je ressens le besoin de me vautrer dans la bouffe, je cuisine.

 

J'invite des 'victimes', qui bien souvent me reprochent d'en avoir fait trop, mais ne se plaignent pas de pouvoir tout goûter, tout déguster.

Je peux passer plus de 24 heures à préparer un repas (buffet multiple et varié) et à me sentir bien !

 

Dans le choix des plats proposé, il y en a toujours un ou deux confectionnés surtout pour moi, ce qui fait qu'au moment de passer à table, je peux me servir à mon goût mais je dois avouer que ces orgies de bouffe me coupent systématiquement l'appétit.

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1 mars 2011 2 01 /03 /mars /2011 01:32

Il y a une seule chose que je fuis, j'évite, je crains...

 

Je préfère ne JAMAIS me risquer à goûter une miette de mon gâteau au chocolat...

 

Je sais que si j'y goûte, je craque, et j'oublie tout. Je perds la raison et j'en mange, j'en re-mange et encore et encore !

 

C'est trrrrrrrrrrrrooop bon !!!

 

Alors que si je ne fais que le regarder : c'est moche, tout marron, tout mou, parfois collant (à la cuiller)...

Je n'en ai pas envie.

 

Exactement la même chose pour les pates à tartiner chocolatée (quelle que soit la marque), je ne m'y risque pas !

 

Mais ça c'est moi, c'est mon talon d'achille, c'est ma faiblesse.

 

Alors je préfère ne pas y toucher que de m'en vouloir pendant plusieurs jours.

 

Et mon pèse personne m'en est très reconnaissant, parce que si je ne culpabilisais pas, lui, il m'accuserait méchamment !

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1 mars 2011 2 01 /03 /mars /2011 01:11

En effet, cette question de savoir de quoi je peux me passer ? Je me la pose encore !

 

Il y a un tas d'aliments dont on peut se passer !

 

Mais seul notre corps peut nous dire lesquels.

 

Je dis ça à ceux qui ne désirent pas suivre un mode d'emploi encyclopédique pour gérer leur vie...

Sinon, il existe un tas d'ouvrages qui vous diront ce qu'il faut faire ou ne pas faire !

 

Mais le seul arbitre équitable, c'est votre corps, votre organisme et au fil des mois, des ans, vous verrez qu'il vous donnera des signes.

 

Petits maux où perturbations après quelques "excès" devront résonner (raisonner) comme une sonnette d'alarme pour votre rythme diététique.

Certains aliments conviendront parfaitement à certains d'entre nous et dérangeront systématiquement d'autres personnes...

 

Nota :

Ici, je tiens à donner mon avis personnel sur la diététique...

J'ai, lors des années de tentative d'amaigrissement rencontré différents diététiciens, pas de nutritionniste, mais excusez-moi, je crains devoir les mettre dans la même catégorie...

J'ai beaucoup de mal à croire qu'ils "savent" !

Je leur concède de bien savoir ce qui leur a été inculqué, d'être de brillants disciples d'une méthode, parfois scientifique...

 

Mais je crains que l'organisme et l'alchimie de l'être humain ne répondent pas de manière identique d'un individu à l'autre, d'un moment à l'autre...

Je m'explique, je suis persuadée qu'à certains âges de nos vies, les réactions émotionnelles et hormonales influent grandement sur notre assimilation de la nourriture.

 

Je sais aussi, qu'il existe différentes écoles et différentes "vérités" sur l'alimentation.

La diététique traditionnelle française, la diététique traditionnelle chinoise (très différente), certainement d'autres diététiques traditionnelles, et puis les alimentations végétariennes, végétaliennes, et même les alimentations carnivores (Hatkins, Dunkan et d'autres que je ne connais pas), les fructivores et bien d'autres...

 

Laquelle est la meilleure ?

 

Y en a-t-il une qui est la vraie ?

 

Je ne crois pas, mais ce qui est sûr c'est que tous sont persuadés être dans le vrai.

 

Certains de                                       SAVOIR

 

Je sais aussi que les constats sur les interdits alimentaires sont régulièrement revus années après années :

quand j'étais jeune, le pain était un aliment assassin, maintenant, il faut en manger en quantité raisonnable, ne surtout pas le supprimer...

pour ma part, quand j'étais adolescente et que j'avais mes fringales, si j'avais avalé deux tranches de pain de campagne, j'aurais certainement :

moins eu faim,

pas volé de saucissons dans les placards,

moins culpabilisé,

moins été frustrée,

moins grossi !

 

Mais je n'affirme qu'une seule chose, je suis un quidam, je n'ai pas fait d'études en ce sens, et je ne parle qu'en fonction d'un vécu personnel...

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1 mars 2011 2 01 /03 /mars /2011 00:38

D'abord, pendant de longues semaines, j'ai travaillé sur les premières questions que je viens de vous dévoiler (depuis le début du blog),

ensuite en pensant à ce que je ferais si je pesais 65 kilos, j'ai commencé à bouger pour de vrai,

à marcher, à aller au sport, et à la piscine.

 

Et puis je me suis demandée si je supporterais de manger un peu moins.

 

Pour ma part, je ne faisais que 2 repas par jour.

Un brunch en fin de matinée et le repas du soir.

Au brunch, je mangeais (on n'est pas là pour savoir si c'est bien où mal, c'est réellement ce que je mangeais), donc le matin, je mangeais : 3 oeufs au plat avec une rondelle de fromage de chèvre (bûche), 2 tranches de pain complet, et deux fruits (pomme, orange la plupart du temps).

Je me suis proposé d'essayer de supprimer un oeuf, tout en dégustant les deux autres avec plus de sagesse.

Les premiers jours, j'ai fait très attention à ce que la durée du repas soit identique à mes habitudes.

Et puis, je m'étais tout à fait accomodée à ce petit déjeuner un peu réduit.

 

Quelques temps plus tard, près de deux mois après, uand le désir s'en est fait sentir, j'ai tenté la même expérience en passant à 1 seul oeuf... au lieu de 2. et toujours le fromage, deux tranches de pain et deux fruits.

No problem ! Tout c'est bien passé, je m'en suis bien passée...

 

Le troisième mois, comme je vous l'ai dit nous étions en Turquie. Dans les familles, ils ne prennent souvent que deux repas par jour. Mais quand on dit deux repas, ce sont deux véritables repas.

Donc le matin, comme il y avait du fromage style féta, je n'avais pas besoin de demander en plus un oeuf. Je mangeais des salades de concombres, tomates, poivron et des fruits (pastèque, melon, pêches..).

J'étais tout à fait satisfaite et surtout, je commençais à me débarrasser de ma "dépendance" à mon oeuf du matin....

 

En rentrant, je ne consommais plus que ma tranche de fromage de chèvre, mon pain et mes fruits.

Même plus du tout envie d'oeuf !

 

Je ne sais pas du tout combien ça représente de calories ou de matière grasse en moins,

 

le but n'est pas d'avoir une alimentation 'rationnée',


mais une alimentation 'raisonnée'

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1 mars 2011 2 01 /03 /mars /2011 00:31

On y arrive !

 

Avant de se permettre ou d'éviter certains aliments, il faut savoir ce qu'on veut.

 

Continuer à bouffer tout et n'importe quoi sans y prendre vraiment plaisir ou manger ce qu'on aime, de façon à ne pas du tout culpabiliser ?

 

Encore des questions à se poser :

 

- Où est le surplus ?

 

Pour le savoir, on peut se demander :

 

- De quoi est-ce que je pourrais me passer ?

 

Aussi, quand on regarde son menu ou son assiette, inventorier chaque aliment et se demander si vraiment ça vaut la peine de tous les avaler, de s'en encombrer et de continuer à en manger...

 

Autre question plus difficile à évaluer :

 

- Qu'est-ce que j'ai l'impression qui me fait du mal ?

 

et enfin et surtout :

 

- Honnêtement, quels aliments me semblent vraiment superflus dans mon alimentation ?

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1 mars 2011 2 01 /03 /mars /2011 00:13

Avant de changer d'assiette (comme je le disais quelques pages plus haut), on peut, tout en gardant son assiette bien remplie, sacrifier une cuillérée de son contenu sans pour autant ne plus manger.

 

Une fois servi, on peut se demander si on accepte de restituer la "taxe d'amaigrissement"...

 

Il suffit d'enlever une cuillérée ou même une demi cuillérée de son assiette rien que "pour maigrir"...

 

Autre chose, dans certaines contrées du monde, le repas ne consiste pas à une entrée, un plat, un dessert, mais se présente sous forme de "buffet".

Plusieurs plats complets, différents, sont proposés au menu familial.

Plutôt que de se jeter sur celui qu'on préfère, pourquoi ne pas goûter à chacun ?

 

Je dis bien goûter, non pas dévorer, bien sûr !

 

Il suffit de prendre une assiette (assez grande cette fois-ci), et d'y déposer une cuillérée de chaque plat proposé.

 

Ce qui fait qu'à la fin du repas, on a goûté à tout, mangé de tout, des mets souvent très variés, et on a suffisament mangé.

 

De plus, on peut être fier et satisfait, on est resté raisonnable.

 

Pour ma part, après les trois premiers mois de ma démarche, je suis partie en vacances en Turquie.

En tant qu'invitée, je me voyais proposer une quantité et une variété faramineuse de différents plats, souvent tous plus riches les uns que les autres, mais tellement tentants...

Et toute cette cuisine avait été faite en mon honneur...

Je ne désirais absolument pas décevoir mes hôtes.

 

Je dois avouer que je me suis protégée en mettant mon diabète en bouclier, mais je me servais tout de même, systématiquement une cuiller (une seule) de chaque plat.

Pour les desserts, je goûtais une demi cuillérée (première bouchée si délicieuse) dans la ration de mon époux.

 

Et bien après un mois et demi de séjour dans ce pays merveilleux, j'avais quand même perdu 3 kilos. Et tout ça en mangeant toute une variété de plats extraordinaires. Beaucoup de variété, mais pas trop de quantité...

 

Je l'avais appelé mon "régime bir kashik"  (ce qui veut dire régime une cuillérée...)

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28 février 2011 1 28 /02 /février /2011 23:12

On fait une petite halte dans notre parcours !

 

Je pense que ceux qui veulent entreprendre une démarche pour arriver à leur poids idéal doivent faire le point, en lisant mon histoire.

 

S'ils veulent faire un peu 'comme moi'...

 

Avant d'aller plus loin, sont-ils prêts à essayer tous ces petits trucs et astuces (relatés dans les articles précédents) pour la relation à la bouffe.

 

Je suis persuadée qu'à ce stade, tout est (presque) dit.

Toute la démarche est engagée et après, chacun, chacune pourra trouver sa voie, son rythme...

 

Mais rassurez-vous, je vais continuer à raconter mon expérience personnelle pendant quelques pages encore...

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